Malgré ces pierres suspendues et le soleil présent, les nuits sont fraîches. L’eau gèle pendant la nuit, ça caille sec sous le duvet. C’est dur Antequera. Apres quelques pains à l’huile, typiques du coin, et une église remplie de martyrs, nous stoppons à Estepa pour une grimpette jolie. Les dièdres se font adhérents, la vue est aérienne. Des milliers d’oliviers andalous nous regardent avoir bien froid quand la falaise passe à l’ombre.
Prochaine étape, Marinaleda. Une ville – utopie communiste. Bon, en fait, c’est un village complètement normal! Sauf que les rues se nomment Avenida de la Liberta, le stade de foot Che Guevera et la salle de concert est démesurée pour un village de cette taille. Une large avenue dessert des ruelles orthogonales, façon Western. On y trouve une collection de peintures murales, qui sont au final le sujet le plus intéressant de notre visite.
Des petits coucous qui viennent de partout autour du monde et certains de Notre Dame Des Landes. Une invitation à éteindre la télé et à lutter contre le capitalisme.
Nuit froide encore. Pause à la station-service pour faire le plein de tout (et le vide du reste). Le van a même le droit à un lavage, il est tout beau. Espérons que ça lui permette de réparer magiquement le joint de la pompe à injection qui fuit!
Bonjour . Merci pour ce reportage sur une curieuse partie de l’Andalousie …qui n’est pas tentante ! On se croirait à Cuba …la chaleur en moins !
Rien sur le Chili ??? ça m’intéresserait .
La bise . M.
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Le Chili arrive mais après !
Il reste le Portugal entre les 2
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